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Terre brûlée au vent
Des landes de pierres
Autour des lacs, c'est pour les vivants
Un peu d'enfer, le Connemara
Des nuages noirs qui viennent du nord
Colorent la terre, les lacs, les rivières
C'est le décor du ConnemaraAu printemps suivant, le ciel irlandais était en paix
Maureen a plongé nue dans un lac du Connemara
Sean Kelly s'est dit 'je suis catholique', Maureen aussi
L'église en granit de Limerick, Maureen a dit oui
De Tipperary, Barry-Connely et de Galway
Ils sont arrivés dans le comté du Connemara
Y'avait les Connors, les O'Connolly, les Flaherty du Ring of Kerry
Et de quoi boire trois jours et deux nuitsLà-bas au Connemara
On sait tout le prix du silence
Là-bas au Connemara
On dit que la vie, c'est une folie
Et que la folie, ça se danseTerre brûlée au vent, des landes de pierres
Autour des lacs, c'est pour les vivants
Un peu d'enfer, le Connemara
Des nuages noirs qui viennent du nord
Colorent la terre, les lacs, les rivières
C'est le décor du ConnemaraOn y vit encore au temps des Gaëls et de Cromwell
Au rythme des pluies et du soleil
Aux pas des chevaux
On y croit encore aux monstres des lacs
Qu'on voit nager certains soirs d'été
Et replonger pour l'éternité
On y voit encore
Des hommes d'ailleurs venus chercher
Le repos de l'âme et pour le coeurà un goût de meilleur
L'on y croit encore
Que le jour viendra, il est tout près
Où les Irlandais feront la paix autour de la CroixLà-bas au Connemara
On sait tout le prix de la guerre
Là-bas au Connemara
On n'accepte pas
La paix des Gallois
Ni celle des rois d'Angleterre
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Y'a pas de voiles aux volets de mes frères
Y'a pas d'opale autour de mes doigts
Ni cathédrale ou cacher mes prières
Juste un peu d'or autour de ma voixJe vais les routes et je vais les frontières
Je sens, j'écoute, et j'apprends, je vois
Le temps s'égoutte au long des fuseaux horaires
Je prends, je donne, avais-je le choix?Tel est mon destin
Je vais mon chemin
Ainsi passent mes heures
Au rythme entêtant des battements de mon cœurDes feux d'été, je vole aux sombres hivers
Des pluies d'automne aux étés indiens
Terres gelées aux plus arides déserts
Je vais je viens, ce monde est le mienJe vis de notes et je vis de lumière
Je virevolte à vos cris, vos mains
La vie m'emporte au creux de tous ses mystères
Je vois dans vos yeux mes lendemainsTel est mon destin
Je vais mon chemin
Ainsi passent mes heures
Au rythme entêtant des battements de mon cœur
Aux battements de mon cœurJe vais les routes et je vais les frontières
Je sens, j'écoute, et j'apprends, je vois
Le temps s'égoutte au long des fuseaux horaires
Je prends, je donne, avais-je le choix?Je prends le blues aux signaux des répondeurs
Je prends la peine aux aéroports
Je vis l'amour à des kilomètres ailleurs
Et le bonheur à mon téléphoneTel est mon destin
Je vais mon chemin
Ainsi passent mes heures
Au rythme entêtant des battements de mon cœur
Aux battements de mon cœurTel est mon destin
Je vais mon chemin
Ainsi passent mes heures
Au rythme entêtant des battements de mon cœur
Tel est mon destin
Je vais mon chemin
Ainsi passent mes heures
Au rythme entêtant des battements de mon cœur
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Chante la vie chante
Comme si tu devais mourir demain
comme si plus rien n'avait d'importance
Chante, oui chante
Aime la vie aime
Comm' un voyou comm' un fou comm' un chien
Comme si c'était ta dernière chance
Chante oui chanteTu peux partir quand tu veux
Et tu peux dormir où tu veux
Rêver d'une fille
Prendre la Bastille
Ou claquer ton fric au jeu
Mais n'oublie pasChante la vie chante
Comme si tu devais mourir demain
comme si plus rien n'avait d'importance
Chante, oui chante
Fête fais la fête
Pour un amour un ami ou un rien
Pour oublier qu'il pleut sur tes vacances
Chante oui chanteEt tu verras que c'est bon
De laisser tomber sa raison
Sors par les fenêtres
Marche sur la tête
Pour changer les traditions
Mais n'oublie pasChante la vie chante (chante chante)
Comme si tu devais mourir demain
comme si plus rien n'avait d'importance
Chante, oui chante
Chante chante La la la la la la la la
comme si tu devais
chante à la fenêtre
marche sur la tête
chante, oui chante
6 commentaires -
Quand j’ai froid, elle se fait lumière
Comme un soleil dans l’existence
Quand j’ai mal, elle se fait prière
Elle me dit tout dans un silence
Quand je souffre, elle souffre avec moi
Quand je ris, elle rit aux éclats
Mes chansons sont souvent pour elle
Elle sera toujours ma merveille
Quand je n’suis pas à la hauteur
Elle m’élève plus haut que le ciel
Elle est la splendeur des splendeurs
Elle est la sève, elle est le miel
C’est son sang qui coule dans mes veines
Et des souvenirs par centaines
Bercent mon cœur de mille étoiles
Elle est ma quête, elle est mon Graal
Oh mon Dieu, laissez-les-moi
Les beaux yeux de la Mama
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